Pour ceux qui doutent encore de l'existence du poisson corrompu : voici des preuves de ses méfaits, et des traces qu'il laisse derrière lui !
Un jour où vous snoberrez le métro Tisséo à Balma Gramont et où vous emprunterez néanmoins la direction de Toulouse, tandis que vous traversez le pont de la route d'Agde (D112), jetez un oeil sur les murs anti-crue à côté desquels vous passez, vous, et des centaines d'autres automobilistes.
A cette distance, on comprend pourquoi si peu de monde l'a remarqué... |
Froncez un peu les sourcils, utilisez le zoom numérique de votre téléphone portable, et faites face à l'évidence.
Parmi tous les tags, il m'a fallu en voir un pour enfin constater les autres. |
Un poisson corrompu a ici laissé une marque indélébile. Ou pire, quelqu'un aurait succombé à la menace poisson pour le faire lui-même !
Visiblement, il s'en FiSH. |
Poursuivons l'enquête. Google Map nous révèle que ce tag est présent non pas seulement d'un côté, mais sur les deux rives du cours d'eau ! De plus, le tag a une durée de vie étonnamment longue !
©2013 Google ♦ Date des prises de vue : Juin 2008 (C'est dire si ça fait longtemps !) |
Selon Solar, le scénario le plus probable est celui d'une sardine de choc envoyée avec des réserves d'H₂O et le soutien de quelques comparses pour tracer cette marque et ainsi étendre la zone d'influence des poissons corrompus.
Selon moi, une personne en mal d'expression a été tenté par le moyen proposé par le Poisson Jaune : le tag.
A moins de faire des trucs vraiment beaux, et de s'être assuré que vous n'empiétez sur l'espace vital de personne, évitez les graffitis qui visent seulement à salir plutôt qu'à partager. |
Parlez-nous : la MAP vous écoute.